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13 décembre 2001 |
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Internet 2001 [1] |
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Pourquoi Dieu laisse-t-il faire le mal ? |
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À la suite de l'attaque du 11 septembre la fille de Billy Graham a été interviewée à l'émission Early Show.
Jane Clayson lui a demandé :
« Comment Dieu peut-il laisser faire une telle chose ? » Elle a répondu : « Je pense que Dieu est profondément attristé par ceci tout comme nous, mais depuis des années nous avons exclu Dieu de nos écoles, de notre gouvernement et de nos vies. Comme Il est un grand gentleman, je crois qu'il s'est calmement retiré. Comment pouvons-nous nous attendre à ce que Dieu nous donne Sa bénédiction et Sa protection si nous Lui demandons de nous laisser nous débrouiller seuls ? » Je sais qu'il y a eu de nombreux courriels qui ont circulé à ce sujet depuis le 11 septembre 2001, mais ceci fait vraiment réfléchir. Si vous n'avez pas le temps, lisez ce qui suit en diagonale, mais l'idée principale donne à réfléchir : à la lumière des récents événements, des attaques terroristes, des tueries dans les écoles, etc. Elle poursuit ainsi : Je pense que ça a commencé quand Madeline Murray O'Hare (assassinée, son corps fut retrouvé récemment) se plaignait parce qu'elle ne voulait plus de prières dans les écoles et que l'on a dit « OK ». Quelqu'un a dit qu'on est mieux de ne pas lire la Bible dans les écoles... la Bible qui dit tu ne tueras point, tu ne voleras point et aime ton prochain comme toi-même. Alors nous avons dit « OK ». Le docteur Benjamin Spock a dit que nous ne devrions pas donner la fessée à nos enfants lorsqu'ils se conduisent mal parce que leurs petites personnalités seraient dérangées et qu'on pourrait endommager leur estime de soi (le fils du docteur Spock s'est suicidé). Alors nous avons dit qu'un expert doit savoir de quoi il parle ; nous avons dit « OK ». Quelqu'un a dit que les enseignants et directeurs d'écoles seraient mieux de ne pas discipliner nos enfants lorsqu'ils se conduisent de travers. Les administrateurs d'écoles ont dit qu'aucun membre du personnel enseignant ne doit toucher un étudiant quand il se conduit mal parce qu'on ne veut pas de mauvaise publicité et certainement pas être poursuivi en justice. Alors nous avons dit « OK ». (Il y a une grosse différence entre discipliner, toucher, battre, gifler, humilier, donner un coup de pied, etc.) Quelqu'un a dit, laissons nos filles se faire avorter si elles le veulent sans même en parler aux parents. Alors nous avons dit « OK ». Certains sages membres du personnel scolaire ont dit : « Puisque nos garçons sont des garçons et vont le faire de toute façon, donnons à nos fils tous les condoms qu'ils veulent pour qu'ils jouissent autant qu'ils le désirent et nous n'avons pas à dire qu'ils les ont obtenus de l'école ». Alors nous avons dit « OK ». Certains de nos élus les plus haut placés ont dit que ce qu'ils font dans la vie privée importe peu aussi longtemps qu'ils font leur travail. Les approuvant, nous avons dit que tous, incluant le président, peuvent faire ce qu'ils veulent en privé aussi longtemps que nous avons un emploi et que l'économie se porte bien. Quelqu'un a dit : « Imprimons des magazines avec des photos de femmes nues et disons que ceci est une saine appréciation de la beauté du corps de la femme ». Alors nous avons dit « OK ». Quelqu'un d'autre a poussé l'idée un peu plus loin en publiant des photos d'enfants nus, et encore un peu plus loin en les publiant sur Internet. Alors nous avons dit « OK », puisqu'ils jouissent de la liberté d'expression. L'industrie du divertissement a dit : « Faisons des spectacles de télévision pour promouvoir l'impiété, la violence et le sexe illicite. Permettons d'enregistrer la musique qui encourage le viol, la drogue, le meurtre, le suicide et les thèmes sataniques. Allons, ce n'est que du divertissement et ça n'a aucun effet pervers puisque de toute façon personne ne prend ça au sérieux. » Maintenant, nous nous demandons pourquoi nos enfants n'ont pas de conscience, pourquoi ils ne peuvent discerner le bien du mal et pourquoi ça ne les dérange pas de tuer des étrangers, des camarades de classe ou même de se suicider. Probablement qu'en y réfléchissant bien, nous pourrons trouver une réponse. Je pense qu'il y a un rapport avec « NOUS RÉCOLTONS CE QUE NOUS AVONS SEMÉ ». * * * « Cher Dieu, pourquoi n'avez-vous pas sauvé la petite fille tuée dans sa classe ? « Bien à vous, Signé, « Étudiant Inquiet... Voici sa réplique : « Cher Étudiant Inquiet, je n'ai pas la permission d'entrer dans les écoles. Sincèrement, Signé, Dieu * * * C'est drôle de voir comment il est simple pour les gens de jeter Dieu et ensuite, demander pourquoi le monde va au diable. C'est drôle de constater que nous croyons les dires des journaux, mais remettons en question ce que dit la Bible. C'est drôle que tout le monde veuille aller au paradis pourvu qu'ils n'aient pas à croire, penser, dire ou faire quoi que ce soit de ce que la Bible dise. C'est drôle que quelqu'un puisse dire : « Je crois en Dieu », mais qu'il suive Satan qui, chemin faisant, « croit » aussi en Dieu. C'est drôle que nous soyons rapides à juger sans vouloir être jugés. C'est drôle que nous puissions envoyer des milliers de « plaisanteries » par courriel qui se répandent comme un feu de paille, mais que lorsqu'il s'agit d'envoyer des messages au sujet du Seigneur, les gens y pensent à deux fois avant de partager. C'est drôle que l'obscène, le cruel, le vulgaire, l'ignoble passe librement dans le cyberespace, mais que la discussion publique sur Dieu soit supprimée à l'école et sur les lieux de travail. C'est drôle qu'une personne soit si enflammée pour le Christ le dimanche, mais qu'elle soit un Chrétien invisible le reste de la semaine. Vous riez ? C'est drôle qu'au moment de faire suivre ce message, vous allez restreindre le nombre sur votre liste d'adresses parce que vous n'êtes pas sûr de ce en quoi ils croient ou de ce qu'ils penseront de vous pour leur avoir envoyé ce message. C'est drôle de constater que je suis plus préoccupé par ce que les gens pensent de moi que ce que Dieu pense de moi. Qu'en pensez-vous ? Faites-le suivre si vous pensez qu'il a de la valeur. Sinon, effacez-le... personne ne le saura. Mais si vous effacez cette réflexion, ne vous plaignez plus de ce que le monde est en mauvaise posture. Tel est le défi ; allez-vous le relever ? |
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[1]
Le texte circule un peu partout sur l'Internet.
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